Lettre ouverte à ce réfugié
Salut,
Je t’ai vu à la télévision dimanche soir. Tu débarquais triomphant de ton bateau pneumatique sur cette île. Je t’ai entendu jubiler, que tu avais 20 ans, que tu fuyais la guerre. Les médias occidentaux, gangrenés par des journaleux gauchisants, ne savent plus que faire pour essayer de nous culpabiliser.
J’’avouerai que ces images et ton discours m’ont mise mal à l’aise. Alors, j’ai réfléchi. Ce que j’ai à te dire ne va pas te plaire. Ça ne plaira pas non plus à tous ces humanitaires, ces comités de soutien et ces ONG qui t’utilisent comme matière première de leur petit business. Si toi qui as 20 ans refuses de te battre pour ton pays, qui va le faire ? Je vais faciliter ta réponse. Il te suffira d’évoquer le point Godwin1 pour me discréditer.
Parce que c’était des hommes de devoir et qu’il fallait le faire. Je ne dis pas qu’ils sont morts en héros. La mort n’est jamais belle. Certains ont atrocement souffert, d’autres sont morts comme des chiens. Mais ils l’ont fait. Tu commences à comprendre où je veux en venir ? Je sais bien qu’il y a des perspectives plus réjouissantes que de devoir prendre les armes et se battre. Le politiquement correct et la bien-pensance dominante font que l’on glorifie désormais les fuyards et les déserteurs. Sache qu’il y a encore dans cette Europe de sans couilles quelques hommes d’honneur, quelques patriotes (estampillés « vieux cons rétrogrades » par toute la frange des « fiottes » qui te soutiennent), pour qui tu n’es qu’un lâche. Tu n’as pas de courage, tu n’as pas d’honneur, tu n’as plus de pays. Je ne te méprise pas, tu n’en vaux pas la peine. Tu continueras à vivre en parasite puisque c’est comme ça que ça fonctionne et que c’est l’idéal qu’on t’a fait miroiter. Il y a cette autre question qui découle de la première et qui entretient mon malaise. Si tu n’aimes pas assez ton pays pour te battre pour lui, que viens-tu faire chez moi ? Ne me dis pas que tu vas aimer ma patrie comme la tienne : tu viens de lui tourner le dos.
Au moindre problème, tu reprendras ta route. Je sais que je ne peux pas compter sur toi. Je suis une sale conne nationaliste.
Mes propos puent l’extrême-droite. On m’accusera d’être xénophobe, que mes propos sécrètent de la haine, etc., etc. Tes nouveaux petits copains médiatico-humanitaro-donneurs de leçons ne vont pas me louper ! Tu peux me haïr, c’est facile. Mais sache une chose : dans 30 ans, quand tu regarderas en arrière et que tu verras ce gosse de 20 ans qui a refusé de se battre pour son pays, tu te détesteras. Tu comprendras ce que je voulais dire. Mais il sera trop tard. Tant pis pour toi.
Une question : Pourquoi ne vont-ils pas au Qatar ou en Arabie Saoudite, pays musulmans, de même culture qu’eux, riches, et avec des régions désertiques à mettre en valeur ?
Et la réponse :
Les riches pays musulmans refusent de les accueillir parce que, pour eux, l’Europe doit être islamisée par tous les moyens et c’est le bon moment.
Les riches pays musulmans n’ont pas de comptes à rendre aux organisations humanitaires. La preuve : plus de mille morts, esclaves philippins et népalais, pour construire des stades au Qatar. Pas un mot d’émotion dans les chaumières gauchisantes de l’Europe. Au contraire, on fera même une belle Coupe du Monde de foot sur ces terrains gorgés de sang.
Par contre, un enfant d’immigré noyé et exhibé à la face du monde et c’est l’horreur. L’Europe doit payer… Mais certainement pas les riches pays musulmans ; ils n’ont pas prévu de CAF ou d’Allocs multiples, encore moins de RSA ou de SMIC.
Là-bas, on finance le terrorisme, la terreur, le meurtre de masse : l’islam ne peut pas donner à tout le monde !